L’arlequin blanc
Comme une griffe angélique,
Tu sembles scarifier mon
cœur,
D’acides divins acétiques,
Tu es ce savant corrupteur.
Trois osmoses adultérines,
Autant d’amendes honorables,
Belle collection d’amours
crétines,
Pour un sang devenu coupable.
Où se cachent-elles ces
mignonnes,
Dans un autel
luciférien ?
Tes frontières tatillonnent,
Aux limites de notre Fin.
Quel est donc ce nouveau
dessin,
Que la vérité prophétise,
Est-ce celui d’un homme
peint,
En noir couleur
traîtrise ?
Quel est donc ce nouveau
destin,
Que le courage avise,
Est-ce celui de l’homme
peint,
En arlequin couleur
banquise… ?
©
Alexein 2007